Une idée pour Gérardmer . Beaucoup de maisons notamment dans le centre-ville sont vides et surtout très très mal entretenues, des verrues pour la perle des Vosges. Je propose à défaut des faire saisir ces biens, que la communauté s’occupe de l entretien et facture le service aux propriétaires. La végétation de ses propriétés débordent sur le domaine public

Le débat du 10 octobre sur la gestion municipale m’a beaucoup intéressée et m’a aidée à prendre conscience, d’une part de ce que je souhaiterais qu’un maire soit ,et d’autre part, de l’importance toujours plus fondamentale de résoudre les plus gros problèmes d’une ville de la taille de Gérardmer, en cherchant les solutions ensemble, au delà des appartenances politiques droite gauche.
D’où ces deux réflexions :
1 le maire devrait être quelqu’un qui a des valeurs d’honnêteté financière, qui, comme cela été dit par Eric Defranould, ne cherche pas à cumuler les mandats et ce qu’ils rapportent, mais se consacre à sa commune, sans ego , sans recherche de pouvoir et de paraître, et ayant une profonde honnêteté intellectuelle, qui l’oblige à informer les citoyens le plus justement possible sur chaque grand problème de la commune et les solutions envisageables.
Ceci aussi en créant une commission ouverte à tous pour chaque problème jusqu’à sa résolution.
Il pourrait également donner la possibilité aux citoyens, de s’exprimer par le biais du bulletin municipal sur des suggestions d’actions à mettre en place sur leur commune ?
ou offrir une réunion publique par trimestre ou semestre pour cela?
Beaucoup de débats et de consultations du public ont lieu en ce moment mais qu’en restera t’il ?

Un futur maire solide et honnête devrait construire un programme avec un calendrier d’exécution pour chaque point, et, chaque semestre, offrir une réunion publique dans laquelle il ferait le point sur l’avancée de son programme.

2 Si tous les candidats ont cet état d’esprit de priorité à la résolution des problèmes de Gérardmer, et non d’être élu pour être élu, alors , pour moi, ils devraient tous se réunir , déjà aujourd’hui en octobre, pour mettre sur la table les plus gros pbs de Gérardmer, mutualiser ensemble les compétences pour trouver les solutions , et mettre tous sur leur programme ces solutions.
L’idéal serait alors, qu’avant même le 15 mars 2026, Gérardmer ait une seule liste de choc qui réunit les plus compétents, chacun dans leur domaine, des listes qui voulaient se présenter..?
Comme l’a dit Eric , l’urgence est de trouver les solutions, et de ne pas perdre de temps en mettant un an à comprendre comment fonctionne une municipalité , comme c’est souvent le cas pour de nouveaux conseillers, vu la complexité du système et des dossiers ( à laquelle s’ajoute la multitude des affaires courantes ou des imprévus).
Donc une équipe responsable serait une équipe prête, compétente, formée (le maire devrait obliger les conseillers à suivre les très sérieuses formations qui existent pour les élus ?) et, comme l’a dit Lydie Guillemain , rapide pour agir dès le début du mandat.

J’avais déjà envoyé un lien sur la problématique des stations qui ferment ou fermeront bientôt par nécéssité et j’ajouterai, pourqoui ne pas s’inspirer des stations au plus près, qui entrent dans la démarche de transition et peut-être créer une commission pour regrouper tous ces sites en questionnement, avec une vision long terme…voir :
Voir cette video locale sur Ventron :
https://www.instagram.com/reel/DPOAq0YinZl/

Pour la gestion communale, je propose une commission « Temps long » avec des habitant(e)s et élu(e)s pour considérer ce que l’on souhaite laisser aux générations futures, et prendre les décisions « justes »
Merci

Bonjour,
Quelques idées pour le futur de Gérardmer, dont le potentiel économique est largement sous-exploité :
1/ Gérardmer, Ville européenne du Sport
Miser fortement sur le sport, notamment en visant le label ‘Ville européenne du Sport’; Gérardmer est l’une des rares destinations réellement 4 saisons et multisport, et c’est un axe de communication à exploiter davantage
-développer fortement la mobilité propre dans la ville par un réseau de pistes cyclables en centre-ville et aux abords de la ville, que ce soit pour rejoindre Epinal, Remiremont ou l’Alsace (en centre-ville, les possibilités de pistes cyclables sont nombreuses)
-créer un rendez-vous annuel (type salon) en rapport avec les activités outdoor
2/ Gérardmer, une ville qui doit beaucoup plus rayonner dans le registre artistique et culturel :
-il manque un cinéma arts et essais réellement actif (le MCL paraît de moins en moins ouvert, et souvent fermé lorsqu’une clientèle de résidence secondaire ou de tourisme est présente (vacances scolaires); tout en sachant que la programmation du cinéma Casino est pauvre et ne se concentre que sur les succès commerciaux, en VF etc
-je propose de remplacer le Festival du film fantastique – qui ne draine qu’un public de films gore, pas du tout en rapport avec la cible touristique de Gérardmer, par un festival du film découverte et aventure ou un festival de la photo nature etc, que pourrait parrainer Vincent Munier
-mieux canaliser les flux de touristes en limitant l’accès en voiture aux différents sites remarquables (Merelle, casque de la Bourrique etc)
-mieux mettre en valeur le patrimoine historique et culturel que représentent les fermes vosgiennes dans le secteur de Gérardmer et alentours, par exemple par un label type ‘ferme géromoise remarquable’, et qui aurait pour intérêt de les répertorier et associer ces fermes à certaines réflexions urbanistiques
-revaloriser la Chaume Francis, pour en faire un endroit dans lequel on a plaisir à aller se restaurer ou prendre un verre, tout au long de l’année, le midi autant qu’en soirée
-initier un projet de réhabilitation de l’Auberge du Grouvelin, un véritable gâchis dans un endroit remarquable, avec une vue remarquable, accessible par randonneurs et VTT – pourquoi pas en s’inspirant du projet de réhabiltation de la ferme auberge du Grand Ventron
3/ Gérardmer doit beaucoup mieux gérer l’économie touristique, par la création d’une entité qui aurait la responsabilité de définir un plan directeur à 5 – 10 ans, et de l’appliquer, en regroupant des politiques et des représentants de la société civile. Il est inimaginable que Gérardmer soit en situation de surendettement et de déficit
4/ La municipalité doit revoir le dimensionnement de l’administration municipale, en s’inspirant des ratios pratiqués dans des stations touristiques comparables (nombre d’employés équivalent tant plein / nombre d’habitant)
5/ Mieux mettre en valeur les producteurs locaux, en les rendant plus accessibles à la clientèle touristique (par exemple en éditant un livret de présentation avec adresses et présentation de leurs productions)
6/ Le lac Gérardmer est Le point d’attraction n°1 de Gérardmer. Cela justifie une amélioration du tour du lac accessible aux piétons, et une campagne massive de dépollution des fonds du lac (cf les restes d’armement de la seconde guerre mondiale)
7/ L’eau est un sujet particulièrement sensible à Gérardmer – on se souvient tous de la pénurie d’eau qui a frappé nombre de foyers à l’été 2023, alors même que la consommation ne cesse d’augmenter sous l’impulsion des locations meublées, avec spa et piscine. Il faut revoir la taxation de la consommation d’eau au-delà d’une consommation moyenne de 75 L par jour et par personne (afin de pénaliser fortement une surconsommation liée aux SPA et piscines)
Je suis tout à fait disposé à poursuivre la contribution sous forme d’échanges de vive voix ou de participation à une table ronde.
En définitive, ce qui frappe à Gérardmer c’est une certaine forme d’amateurisme de l’équipe municipale ou à tout le moins d’une vision très rétrograde des grands enjeux auxquels est confrontée la ville de Gérardmer, alors même que tout devient plus compliqué. Mais le potentiel de Gérardmer est exceptionnel. Aussi, la prochaine équipe municipale se doit d’être compétente, engagée, ambitieuse pour sa ville, avec une parfaite intégrité et un sens du collectif, et en ayant la capacité à s’inspirer des exemples qui marchent ailleurs.
Bien cordialement.
Olivier Oberlechner

Il faut prendre exemple sur Remiremont , une ville très agréable où des commerces sont encore dans la ville , où il n y a pas que de la bouffe ou des bistros. Pour moi, je ne descends même plus en été , le monde me dégoute. Alors, je vais faire mes courses ailleurs.

Suite à la réunion au Grattoir du 19 septembre pour compléter ma remarque voir ce lien ci-dessous pour s’inspirer des autres stations de ski dans la même situation, qui sollicitent les habitants :
https://www.lemonde.fr/planete/article/2025/06/29/ski-alpin-les-habitants-d-allos-votent-la-fermeture-de-la-station-du-val-d-allos-le-seignus-face-au-manque-de-neige-et-au-deficit-financier_6616321_3244.html
Trois choix s’offraient aux membres des 5 000 foyers fiscaux (les 600 habitants à l’année et ceux en résidences secondaires) de ce village : maintenir le ski alpin au Val d’Allos-Le Seignus, à 1 500 mètres d’altitude, et voir leurs impôts locaux augmenter de 30 à 35 % ; ne conserver le ski que sur une partie du Seignus et accepter une augmentation d’impôts de 10 à 15 % ; ou, enfin, arrêter le ski du fait du manque de neige et du déficit chronique qui en découle.
Cette dernière option a déjà été actée récemment par d’autres stations comme celle du Grand Puy, dans le même département, et elle a séduit la majorité (50,1 %) des 1 342 habitants ayant pris part au vote, soit une participation d’environ 30 %. Ils sont 36,4 % à avoir opté pour le maintien total du ski alpin dans la station et 12,6 % à s’être prononcés en faveur d’un maintien du ski sur une partie seulement du domaine.

Marché des Horodateurs, démocratie locale bafouée ou en danger ?
La question fondamentale est celle du respect du débat Démocratique des orientations majeures de la ville, les élus des deux minorités et toute la population ont découvert le dossier du marché passé par la ville de Gérardmer avec la Société FLOWBIRD le 26 septembre 2025 tout en fin de conseil dans la rubrique des délégations du maire ! Un dossier majeur de la vie locale sans débat en conseil municipal.
Pour information petit historique qui m’interroge quant à l’opacité et la gouvernance « secrète » et la stupéfaction Géromoise qu’il en résulte à la lecture de la presse ce samedi matin 27 Septembre.
PETIT HISTORIQUE ou Historique-Risqué ?
De toute évidence le dossier a été élaboré en début d’année 2025 bien avant le vote du budget en date du 11 Avril 2025 …. Sous la dénomination du règlement de consultation « FOURNITURE, MAINTENANCE D’HORODATEURS ET SERVICES ». Soit un mois avant le vote du budget … Avec limite de remise des offres au 22 Avril 2025
Aucune Information aux orientations budgétaires au conseil municipal du 28 mars 2025. L ’avis de consultation du dossier aux entreprises a été lancé le 20 Mars 2025 soit 8 jours avant le débat des orientations budgétaires. Moment essentiel dans la vie d’un conseil municipal puisqu’il fixe les orientations de la politique municipale. Et 21 jours avant le vote du budget 2025 qui autorise le maire à engager les marchés …
Ceci aurait dû permettre au Maire de présenter ce dossier et d’en expliquer la motivation pour recueillir l’avis de tous les élus représentants de la population avant de décider !
Aucune information envers les Habitants de Gérardmer …. Silence Total
Dans son bulletin de campagne des élections municipales de mars 2020 Mr Le Maire s’engageait en introduction de son livre programme à : P1 « Nous devons agir tous ensemble. C’est pour cela que je vous propose de mettre en place une démocratie locale pour vous consulter officiellement … P 15 « Maintenir la gratuité du stationnement sur toute la ville » …. Pas une seule information dans les 3 bulletins municipaux 2025 ni celui consacré au budget L’absence de débat, de réflexion globale avec tout le conseil municipal sur ce dossier risque d’entrainer la prochaine municipalité (Quelque ‘elle soit) dans un engagement financier dont le cout global sera nettement supérieur et non étudié à ce jour.
QUEL COUT d’Exploitation et Gestion des 50 Horodateurs pour quelle recette fiscale ?
Le cout de la gestion technique des équipements n’est pas connu, ni le cout du service public de gestion (par la mairie ou en délégation de service public), exploitation, entretien, remplacement de vandalisme etc.… et enfin l’encaissement, et la surveillance de payement ne sont absolument pas connus ni intégrés dans l’analyse de cet investissement ?
Quelle recette nette après amortissement et exploitations ?
Donc un investissement de départ de 261 185 € HT qui de toute évidence va grimper ? grimper ? …sans savoir à combien ? On achète l’hélicoptère et l’on n’a pas passé le permis de pilotage, on n’a pas de plan de vol ni piste d’atterrissage, on pilote à vue sans connaitre le cout d’entretien, d’exploitation Bref on va prélever au budget 2025-26 plus de300 000 € TTC alors que nos voiries sont dans un état lamentable et qu’il eut été plus urgent de les entretenir ? Une étude dans la transparence, la concertation avec tous les acteurs Géromois serait bien plus utile pour en décider et en planifier si souhaité par le prochain conseil municipal issu des élections de 2026.
Interrogations quant au déroulé de la procédure réglementaire de l’appel d’offres ? Les recommandations du Guide de la décentralisation du stationnement payant sur voirie à l’attention des collectivités territoriales CEREMA -CERTU d’octobre 2015 sont une bonne source d’informations pour les élus et la meilleure réussite d’un projet … On aurait dû le présenter aux élus pour respecter le processus de mise en œuvre et surtout du respect de la loi de modernisation de l’action publique et de son article 63 précisant :
« En application de l’article L.2333-87 du CGCT, l’Organe délibérant (le conseil municipal) compétent doit déterminer si les emplacements réglementés sont gratuits ou payants, et Fixer le barème tarifaire ainsi que …etc. ». D’autre part la délibération du CM du 15 avril 2021 publiée le 12/07/2022 autorise Mr Le Maire « De prendre toute décision concernant la préparation, la passation, l’exécution et le règlement des marchés lorsque les crédits sont inscrits au budget et après avis de la commission d’Appel d’Offres… » … Parfait mais pour un marché officiellement mis en consultation et publié le 20 /03/2025 soit 8 jours avant le débat des orientations budgétaires du 28 mars et 22 jours avant le vote du budget du 11 avril 2025? … Le maire pouvait il engager la préparation et lancer la consultation alors même que le budget n’était pas voté ? La réponse pourrait venir du contrôle de Légalité, Voire d’un recours au Tribunal Administratif si des Géromois estimaient ce dossier prématuré.
-APPEL à Mr Le Maire. Connaissant votre capacité à analyser positivement les remarques (désintéressées politiquement) vous en sortiriez tout honoré de retirer ce marché au vu des constats et de son processus dont manifestement vos conseils vous ont conduits à oublier vos promesses électorales et la démocratie locale envers nos élus et habitants. Ce dossier est grave, car vous transmettriez au nouveaux élus (Vous ou d’autres) un engagement financier inconnu … Je ne suis pas contre les horodateurs mais pour le respect de tous les élus et de la démocratie locale et une analyse financière globale. Ce geste de retrait vous en sortirait tout honoré, respectueux de vos engagements de 2020.
Recevez Mr Le Maire mes respectueuses salutations. JC DEFAY Citoyen Géromois. (Ex Ingénieur en chef chargé de Missions Grands Projets)
.

Gérardmer, ville sportive…et bientôt ville culturelle?

A Gérardmer, on a la chance d’avoir une ville attractive, tournée vers le sport et la nature . Les infrastructures sont là, les évènements aussi, et c’est une vraie fierté pour beaucoup d’habitants.

Mais côté culture, la ville s’est endormie avec les années.
Le patrimoine local, pourtant si riche, est peu visible. Et c’est bien dommage.
Souvenons nous: En 1977, les Ménestrels de Gérardmer et Jean Grossier faisaient un beau geste en cédant à la ville la Maison Chevroton qui abritait le Musée place du Vieux Gérardmé, avec tout ce qu’ils avaient patiemment et avec passion rassemblé pendant plus de cinquante ans (biens du patrimoine local, matériels, costumes) , en contrepartie de quoi le conseil municipal s’était engagé à pérenniser le Musée déjà créé.
Par acte notarié du 20 octobre 1977, le conseil municipal de l’époque officialisait son engagement.
On sait que la promesse n’a pas été tenue, en dépit d’une réouverture du Musée par Jean Grossier dans l’immeuble Zimmerman durant les années 1988 à 1990. Mais aujourd’hui? Le Musée va-t-il revivre?

Il y a quinze ans déjà, j’avais déposé en mairie un dossier de relance, puis régulièrement sollicité les instances concernées pour relancer le projet d’un Musée interactif, qui tout en respectant l’esprit de son fondateur, serait enrichi par la création de nouvelles sections et thématiques, initiées par d’autres passionnés du patrimoine local. Ce lieu pourrait devenir un véritable Musée vivant, au cœur de Gérardmer. Un musée qui ne soit pas seulement un lieu de conservation, mais aussi un espace ouvert, dynamique, accueillant des expositions, des animations, des rencontres autour de notre histoire locale.

Alors que 2026 approche, peut-on espérer que cette année marque enfin un tournant.

Pourquoi ne pas faire du Musée créé par Jean Grossier ce qu’il était censé devenir : un véritable lieu de mémoire, de rencontres, de partages, de transmissions et de découvertes ancré dans la vie de la ville.

Un espace où Gérômois et visiteurs pourraient venir (re)découvrir l’histoire, les traditions et les racines de notre région.

Ce serait une belle manière d’honorer le travail de celles et ceux qui ont su préserver notre patrimoine avec passion. Et ce serait un beau projet d’avenir pour notre ville.

Martine Mougel-Grossier
musseejeangrossier@gmail.com

J’ai assisté à la réunion au grattoir de vendredi. Une fois de plus je voudrais rappeler qu’évoquer l’avenir de la station avec si peut d’éléments factuels me paraît contre productif. La première étape doit être la mise à plats des données existantes et leur appropriation par le plus grand nombre. Pour ce qui est du développement des 4 saisons, sommes nous si sûr qu’il doit être encore développé? Si oui, quand souhaitons nous avoir plus de visiteurs, et de quel type? Je pense que là encore, on inverse les priorités du questionnement, faisons le point sur l’existant et peut être que la meilleure question à se poser sera de savoir quoi faire afin de mieux accueillir le public déjà présent.

Merci cependant pour votre engagement, mes remarques visent juste à essayer dans augmenter encore l’impact.

Que ce soit au niveau de l’Etat avec des plans comme le « plan climat », de groupes de citoyens qui se réunissent pour essayer d’agir ensemble, de jeunes ou moins jeunes qui manifestent, d’enfants ou de jeunes qui, dans les écoles, font preuve d’une maturité et d’une prise de conscience des problèmes auxquels leurs générations vont être confrontées, partout cela bouge ,comme ici dans les Hautes Vosges avec les débats organisés au Grattoir ou ailleurs à l’issue de films ou conférences.
Pour autant, ce sont bien les élus qui prennent les décisions et l’avenir de Gérardmer à partir de 2026 devra s’inscrire dans la problématique générale :
– d’une part de la décarbonation , car il faut impérativement atténuer le réchauffement climatique pour anticiper les catastrophes (ne pas s’inscrire dans cette démarche est totalement irresponsable),
– d’autre part de la perte de biodiversité (70% de la biodiversité a disparu, ce qui revient à scier la branche sur laquelle nous sommes assis puisque nous dépendons totalement des chaînes alimentaires et du risque dun effondrement subit de celles-ci) pour anticiper les risques de famines et leurs conséquences.
Nos élus sont censés connaître ces problématiques.
1 ) je voudrais qu’ils nous associent pleinement à prendre alors les mesures nécessaires pour ne plus être les grenouilles qui chauffent doucement dans la casserole sans en sauter avant d’être ébouillantées : ceci, par le biais du bulletin municipal, de commissions citoyennes sur des thèmes précis , de travail avec les associations de protection de l’environnement et avec les scientifiques.
2) je voudrais qu’ils s’attaquent au problème de l’autonomie alimentaire, du soutien à l’agriculture biologique et de la lutte contre les élevages intensifs qui sont une des causes principales du réchauffement climatique.
Pour cela ici à Gérardmer :
– augmenter le nombre de repas végétariens dans les cantines pour expliquer aux enfants et aux parents l’importance de notre mode d’alimentation à la fois dans la décarbonation et pour notre santé.
– transformer les pistes de ski qui ne seront plus utilisables en pâturages pour augmenter le cheptel de nos élevages locaux et aller vers l’autonomie alimentaire vitale pour l’avenir.
– créer un tourisme quatre saisons qui propose des journées ou des stages qui sensibilisent toujours davantage le public aux pratiques agricoles et aux modes d’alimentation qui seront la seule solution pour l’avenir : partout des articles sont écrits sur ce sujet mais combien de personnes ne le savent pas et ne comprennent encore pas l’importance de ce sujet ?
Il faut que les élus nous rendent acteurs de cette prise de conscience et du changement de paradigme nécessaires.
A eux de nous informer, responsabiliser, faire expérimenter (par les cantines ou par les restaurateurs ou par les associations ou..?) et à nous d’agir ensuite, tous ensemble, pour diminuer notre consommation de viande, découvrir la richesse nutritive des protéines végétales et lutter contre le réchauffement climatique en boycottant les viandes issues d’élevages en batterie.
D’autres communes ont déjà réussi cette dynamique pourquoi pas Gérardmer et sa comcom?
3) je voudrais qu’un instrument de mesure de la pollution soit installé à Gérardmer afin de mesurer les différents taux de pollution de l’air pendant les périodes touristiques.
Aujourd’hui la pollution tue de plus en plus : maladies respiratoires, cancers, etc.
Je voudrais que les futurs élus prennent en compte l’enquête qui a été faite par l’association des maires de montagne :
– 52% de l’empreinte carbone de l’activité ski est liée aux transports
– 89% des personnes qui partent en vacances d’hiver, y vont en voiture.
– 51% sont prêtes à prendre le train
– 74% parmi les 18-24 ans .
– le 1er facteur d’amélioration pour 43% des personnes interrogées serait le prix des billets .
Le problème de l’accès à Gérardmer devrait donc être une des priorités.
Même si la remise en service de la ligne de train avec un train moderne type Draisy n’est pas uniquement du ressort de la commune, les élus locaux ont un rôle important à jouer pour demander à favoriser ce mode de transport qui peut rendre la vie à Gérardmer en période touristique beaucoup plus agréable pour tous.
Et , au delà du  » côté agréable » , il y aura le côté responsable et vital de participer à l’effort de décarbonation et de nettoyage de la planète qui devraittous nous tenir à cœur. .
Dans le même ordre d’idée, (et même si je sais que ceci depend de plusieurs comcom) expérimenter certains jours la fermeture de la portion de route des Crêtes qui va de la Schlucht à la route des Américains, en en gardant l’accès bien sûr aux autobus,à la navette des crêtes et aux voitures des personnes handicapées , ainsi qu’un accès par les télésièges de La Bresse .
Ces différents modes d’accès préserveraient la clientèle des fermes auberges, et d’ailleurs, celle-ci serait alors augmentée du nombre de personnes qui n’allaient plus sur cette portion des cretes en periode touristique parce qu’il y a trop de bruit et trop de pollution dûs aux voitures et aux motos.
… »Le tourisme doit contribuer à justifier des investissements décisifs en matière de transports en commun »
Des villes réussissent cette transition (Chamonix par exemple ), des pays de montagnes aussi (Suisse, Autriche) ,pourquoi pas nous ?
« Le tourisme 4 saisons existe déjà à Gérardmer » .. de manière plus générale, il existe partout en montagne, tout simplement parce que les gens fuient les 35- 40 degrés des plaines et viendront de plus en.plus chercher la fraîcheur en altitude.
Promouvoir un écotourisme au service de l’éducation aux enjeux écologiques est donc, de plus en plus d’actualité, et en rapport avec le fait de lutter contre les canicules qui vont de plus en plus impacter la santé de chacun et de notre économie.
« – Comprendre la dimension systémique des défis à relever, mobiliser tout son territoire autour d’un nouveau projet de territoire enthousiasmant ,sobre et résilient pour nous sauver, réorienter toutes les actions en fonction de ces objectifs et en s’inspirant de ce qui a déjà réussi ailleurs » nest ce pas le projet général dans lequel tous les candidats devraient s’engager ?
Je souhaite que les candidats aux Municipales 2026 à Gérardmer organisent une réunion avant les élections, pour nous dire ce qu’ils auront retenu de nos propositions et du livre blanc qui va leur être rendu.

– un adjoint à la sécurité et à la tranquillité publique en lien avec la police municipale pour mettre un terme aux débordements touristiques ;
– la création d’une marque du style « Gérardmer-Perle-Des-Vosges » et un slogan « Entre lacs et montagnes, la vie grandeur nature » ou autre exemple nécessaire pour une communication mieux ciblée à l’extérieur et attirer une autre population que les fêtards
– un adjoint et un fonctionnaire chargés de la promotion et du rayonnement de la ville et de sa marque à l’extérieur du territoire,
– Gérardmer Capitale du Vélo de Montagne :
La mise en place d’un plan de mobilités douces, pistes cyclables en site propre, bandes cyclables, vélo rues (les voitures restent derrière les vélos exemple pour l’hyper centre-ville). Le business de location de vélos par la mairie ou en partenariat public / privé : abris couverts et location de vélos électriques ; une source de revenus pour la municipalité !
– une halle couverte pour les marchés hebdomadaires mais aussi pour abriter des expositions temporaires ou marchés saisonniers, pour faire venir une fréquentation touristique thématique ;
– l’utilisation du centre de congrès plus fréquente avec l’organisation de manifestations et / ou expositions thématiques (salon du vélo, salon des arts de la table et ustensiles de cuisine, salon du bien être et des médecines alternatives, salon du stretching et du maintien en forme, ateliers de cuisine, intertourisme (un territoire vient s’exposer en échange d’une exposition de Gérardmer sur le territoire de l’exposant)
– labellisation des chalets de tourisme
– horaires d’ouverture étendus pour les équipements municipaux et de bien être
– Mise en place d’ateliers de projets réunissant citoyens élus et professionnels véritables laboratoires de démocratie municipale municipales pour les décisions importantes (phase de présentation et de recrutement des citoyens volontaires, phase d’écoute, phase d’élaboration, phase de restitution)
– Communication vendeuse pour les journées de ski et forfaits adaptés (2 heures)

Bonjour,
lorsque nous étions enfants, nos parents nous emmenaient non pas à Gérardmer mais « au lac » ce qui veut bien dire que la notoriété du lac ne date pas d’hier. Gérardmer était et est toujours avant tout le lac
C’est pourquoi il faut tout faire pour préserver ce bien unique.
à l’instar de ce qui existe en Suisse en plus encore peut être en Autriche, le projet que je soumets vise à rendre une rive totalement piétonne et ainsi permettre aux promeneurs et sportifs d’aller sans risques et en toute quiétude depuis le rond point du bout du lac jusqu’à la base nautique et même jusqu’à l’embarcadère des bateaux.
Ce projet est de construire un tunnel qui verrait un accès entre le Beillard et le rond point du bout du lac et dont la sortie pourrait arriver quelque part boulevard de la Jamagne avec pour effet de supprimer toute circulation sur cette berge du lac – depuis les motos fort bruyantes parfois, jusqu’aux poids lourds, eux aussi fort bruyants.
Ce projet serait un projet long terme sur 5 ou 8 ans et peut être même 10 ans mais il aurait la vertu de satisfaire tout le monde : sportifs, écolos promeneurs, riverains, la route actuelle étant réservée aux véhicules de secours, et aux quelques riverains et bien entendu réservée d’abord aux piétons, aux sportifs, et tous amateurs de nature calme.
En Suisse, on ferait un tunnel, en Autriche on couvrirait la route comme il a été fait le long d’un lac « Achensee » qui se trouve à la frontière de l’extrême Sud de l’Allemagne et de l’Autriche en allant vers Innsbruck.
Alors le coût d’un tel projet ? d’après les renseignements pris ces jours auprès d’une entreprise spécialisée dans ces infrastructures, le coût d’un tunnel routier est d’environ 100 Millions d’euros du kilomètre.
une simulation simple sur Google map montre qu’il s’agirait d’un tunnel de 2 kms environ ( en fonction du tracé bien entendu) à réaliser, soit un coût de 200 M montant important mais tout à fait réalisable et surtout un projet de grande envergure qui pourrait fédérer bon nombre d’amateurs du lac.
évidemment, il met aussi sur la table l’organisation de la circulation dans la ville et l’organisation du stationnement de façon à faciliter l’accès aux aux commerces locaux pour les visiteurs de la ville.
Aujourd’hui des solutions efficaces existent pour organiser tout cela.
Projet fou ? certes, mais dont personne ne peut nier l’efficacité.
La « Perle des Vosges » mériterait plus que jamais son appellation.

Depuis au moins quinze années, je milite pour relancer le tramway de Gérardmer à la Schlucht et au Hohneck.
Cela est possible par une délégation de service public entre une société spécialisée et le conseil départemental comme l’a fait le CD63 en remplaçant la route qui mène au sommet du Puy-de-Dôme ar un tramway. Le tramway ne pourrait plus partir du boulevard Kelch mais du bord du lac de Longemer. Cela désengargerait la route des crêtes. Je lui ai troiuvé un nom; TETRAS pour « Tendance Environnement, le Tramway Revient après un Siècle… D’autres projets sont également possibles à Gérardmer…

Création d’une association des résidents secondaires qui pourra porter une voie audible à la mairie lors de groupe de travail par exemple.
Sans discrimination aucune, une distinction doit être faire entre les investisseurs/loueurs en saisonnier et les résidents secondaires qui se réservent la jouissance de leur bien.
Harmoniser le vivre ensemble entre ces entités car tous participent à l’économie de la ville.
Parking payants
Navette pour désengorger le centre ville en période estivale
Piétonisation de l’hyper centre
Accroître le verdissement des rues
Avoir l’honnêteté de dresser un état des lieux honnêtes sur les eaux du lac vis à vis des munitions qui y sommeillent
Marché couvert
Créer de réelle piste cyclable

Des navettes journalière du camping de Ramberchamp au centre ville de avril à fin septembre.
Une meilleure communication et surtout être convie au décision concernant les festivités, et organisation pendant les saisons…
Arrêt de l aire de camping car derrière l office de tourisme.
Et plein d autres idées.

-Rendre Gérardmer accessible plus facilement en transports en commun (un jour en train ou bus).
-Réduire l’artificialisation des sols
-Anticiper la fin des stations de ski dans les Vosges

Il est aujourd’hui urgent de rendre aux Geromois, habitants de la vallée, et des alentours, à nos visiteurs … Une réelle alternative à la voiture, nos bus ne conviennent pas, une relation simple efficace et qui parle a tous reste le train.
Nous devons donc retrouver cet axe ferroviaire pour être connecté aux réseaux ferroviaire français.
La ligne Épinal Gérardmer doit être enfin réouverte, une chance pour nous que cet axe existe encore, nous ne devons pas passer a côté !
D’ autres solutions peuvent être trouvées pour des liaisons vélos, les deux doivent être complémentaires et non pas l’un contre l’autre !
Nous regrettons ce manque de moyen de transport aujourd’hui, pensons à demain, un réel service public pour tous et qui va dans le bon sens.

Application de la loi lemeur pour la régulation des locations saisonnières et des logements saisonniers.
Préservation de la ressource en eau existante par encadrement des bains à remous et piscine en période d’étiage, encouragement de la population sur l’usage des sources et puits privés et récupération d’eau de pluie afin de soulager le réseau public d’adduction.
Valorisation du domaine skiable en période estivale ( luge d’été, domaine VTT, circuit de randonnée, etc…)

Rapport d’étonnement /Propositions Gerardmer 2026
Nouvelle habitante, ce à quoi je m’attendais/qui correspond à mes attentes,
Petite ville dynamique, attractive, très bien entretenue, fleurie, propre, arborée, inspire la sérénité avec un patrimoine naturel préservé
Services de proximité accessibles
Sécurité
Qualité de l’air
Equipements sportifs extérieurs et intérieurs de qualité, activités Nature.
Extinction de l’éclairage nocturne pour les économies d’énergie et protéger la biodiversité qui prouve l’intérêt de la municipalité pour ces questions de transition

Ce qui me surprend positivement/qui dépasse mes attentes,
Accueil des géromois et intégration facile : commerces, associations…
Vie associative importante et diversifiée
Ambiance locale sereine/ Tourisme plutôt familial et sportif
Très beaux sentiers de randonnées préservés

Ce qui me déçoit ou me questionne/qui est en-deçà de mes attentes. Mes idées pour améliorer en termes de besoins de :
1-Médecins : pas de rendez-vous possible sur la commune pour les nouveaux arrivants
2-Gérer autrement le parc immobilier et les tarifs pour le rendre plus accessible aux personnes qui souhaitent venir vivre à Gerardmer. Créer des logements pour attirer des jeunes et des familles au centre pour éviter la surcharge de circulation routière et sa pollution / protéger les espaces verts et biodiversité restants. Appliquer la loi Le Meur.
3-Maintenir les écoles et vanter la qualité de vie pour attirer une population jeune et non toujours plus de touristes.
4-Préserver le cadre Montagne et maintenir l’interdiction de construire à plus de 700 m
5-Maintenir des activités quatre saisons durables comme le centre équestre du Ramberchamp qui malheureusement va disparaître.
6-Développer la mobilité douce : un train / des pistes cyclables ou voies partagées à la fois pour les locaux (accès aux services de proximité, travail, écoles) et pour les touristes en ville et alentours
7-Eau potable de qualité : sensibiliser la population afin de préserver cette ressource et encourager la récupération des eaux de pluie. Imposer pour les nouvelles constructions ou rénovation, son usage domestique (toilettes par exemple)
8- Energie renouvelable : créer un mode de chauffage collectif urbain et encourager les sources alternatives pour les entreprises, les institutions, et les écoles…Encourager les projets collectifs.
9-Une alimentation locale et saine : développer les circuits courts avec les producteurs locaux :
.en leur offrant un prix d’emplacement au marché préférentiel à l’année ou à la saison en fonction de leur production. Est-il normal qu’ils paient autant que les exposants saisonniers ‘hirondelles’ de denrées/produits moins utiles pour les locaux et ne soient pas prioritaires ? Des communes des environs accueillent des marchés de producteurs locaux à l’année ! A Gerardmer, il semble que cela fasse partie de ces plus de 30 animations « gratuites » offertes aux vacanciers !!!!
.menus à partir des produits locaux de qualité pour les cantines scolaires
.avoir une réelle gamme de restaurants qui offrent des plats à base de produits locaux du terroir, en circuits courts. S’inspirer d’autres régions de France ou de l’Autriche entre autres.
10- Un musée / innovation (savoirs faire locaux et à venir)
11-Développer un écotourisme « soutenable » avec encore plus de circuits pédagogiques pour ‘former’ les touristes sur la biodiversité et la transition. Le thème’ remise en forme/nature ? Supprimer les feux d’artifice et changer le logo « 30 animations gratuites’ : rien n’est gratuit !!! A la limite, c’est offert !!!
12-Se réinventer un imaginaire et des valeurs à transmettre pour remplacer le culte de « la neige » et se faire l’avant-gardiste de la transition écologique. Des stations de ski ont déjà fait le choix de s’arrêter face au manque de neige récurrent pour s’adapter au changement climatique : Le Gaschney, Le Tanet, Val d’Allos-Le Seignus,L’Alpe du Grand Serre, Notre-Dame-de-la-Tarentaise, dans les Pyrénées, Hautacam …Quid de Gerardmer ?
13-Transparence des impôts locaux à venir en fonction des choix d’investissement structurels et d’animations pour les activités touristiques.
14-Prendre en compte les besoins fondamentaux des habitants et encourager une démocratie plus participative et responsable pour construire la ville de demain. Impliquer les jeunes. Ne pas laisser l’IA ou les promoteurs imaginer le Gérardmer de demain comme l’exposition à la mairie des 150 ans de l’Office de Tourisme nous le montre . Est ce que l’on rêve de cela ?

La Ville de Gerardmer ne devrait elle pas honorer ses chefs d’Entreprises qui ont œuvrer pour l’Emploi et la Renommée de Notre Ville ?
Garnier THIEBAUT Tourne une belle page de ces 30 dernières années, un parcours qui mérite d’être salué, c’est ce que firent 150 collaborateurs et salariés de ce Fleuron de l’Industrie Textile Locale ! Bravo à Paul de Montclos.
Voila ce chef d’entreprise qui dans une dynamique constante et en toute simplicité a porté haut et fort un label du textile Vosgien et Géromois et du savoir faire de ses salariés.
La ville de Gerardmer qui honore à l’occasion de moultes réceptions diverses catégories sociales…..
( Départ retraite des enseignants, son personnel , les Sportifs Géromois , les anciens (Bals et autres) , les mamans, les jeunes filles méritantes , les Pompiers , etc…
Ne devrait elle pas penser à ceux qui dans l’ombre et le fracas du monde économique créent l’emploi, luttent contre le chômage en créant l’activité et en plus exportent la renommée de Gerardmer .
Ne serait ce pas justice de reconnaitre ces entrepreneurs qui affrontent la dureté du monde économique pour maintenir l’emploi à Gérardmer .
Paul de Montclos en est l’exemple flagrant ,
Leur rendre un hommage en leur attribuant la médaille de la ville de Gérardmer ne couterait vraiment pas cher à ceux qui ont rapportés beaucoup pour notre commune .
Certes il pourrait y avoir une grille de critères, mais cela serait aussi un signe de soutien moral à ceux qui font , qui créent et ne passent pas leur temps à dénigrer Gerardmer.
A ceux qui veulent investir et croient en Gérardmer ..
De ce que l’on ressent et l’on voit de cette entreprise, l’on peut constater que Gérardmer n’est pas la ville si détestable que certains dépeignent à flots sur les réseaux sociaux….
En ce jour de départ Paul de Montclos a démontré que le travail , le savoir et la compétence pouvaient parfaitement vivre et réussir dans notre belle station touristique..
Bravo à lui et tous ses collaborateurs qui démontrent que l’ industrie Géromoise peut vivre au pays de la Vallée des Lacs !
La ville de Gérardmer offre de multiples pots et réceptions à diverses occasions..
Honorer ceux qui contribuent à dynamiser l’économie de notre commune et aussi à y bâtir et maintenir l’emploi et à porter haut et loin la renommée de Gérardmer ?
Ce serait « le Prix du Dynamisme »
Paul de Montclos en fait partie, et avec son passé il pourrait très bien poursuivre et mettre ses capacités et sa simplicité au service de Gérardmer…
En valorisant ses femmes et hommes Gérardmer en sortirait grandie et qui sait pourrait très bien profiter de ses atouts…
Bonne retraite « active » Mr Paul de Montclos.
JC D
PS; Pour info je ne le connais pas personnellement et n’ai aucune relation personnelle mais rendons à Paul ce qui est à Garnier !

Concernant le logement il serait intéressant de faire le point sur des maisons non utilisées suite à des décès. Construire des résidences sur certaines friches afin de permettre aux jeunes familles de s’installer et de permettre de travailler au pays .il faut créer du tertiaire.
Concernant la mobilité, le conseil des seniors avait fait des études qui n’ont pas aboutis.

Il n’est plus possible d’accepter chaque week-end et vacances un déferlement motorisé. A la fois pour les habitants, mais aussi pour ces touristes de passage ou récurent (résidences secondaires), il semble important que la commune assume le fait que seul le train peut amener un report modal important et en lien avec les objectifs de baisse d’émissions dans le transport pour les trajets moyens et longs. Il est donc essentiel de stopper le projet de voie verte qui hypothèquera tout retour à l’avenir.
Ceci dit, le développement du vélo doit se faire pour les trajets quotidiens. Une liaison par la route forestière est possible à moindre frais pour relier Le Tholy et Gérardmer. Le tour du lac doit être plus agréable (voir unique côté Ramberchamp, limitation à 50 km/h sur la RD). Un système de location de vélo doit être mis en place, ainsi qu’un parking sécurisé à la gare routière pour prendre les cars. Un système de prêt pour tester les vélos électriques permettant d’aider dans les dénivelés importants de la commune. Passer les petites rues en voies mixtes à priorité vélo. Exiger de la Région un renforcement généralisé des fréquences des cars en direction d’Epinal, St Dié, Bruyères, Remiremont, Munster, Vagney, La Bresse. Mieux baliser les cheminements piétons pour relier les écarts au centre-ville et inciter à la marche à pieds. Expliquer qu’un piéton consomme plus qu’un automobiliste aux commerçants. Relier le centre-ville à la zone de la croisette avec un belle voie verte sur le boulevard d’Alsace. Reprendre le fonctionnement du petit bus pour en faire profiter un plus grand nombre d’habitants (transport à la demande ?). Etc etc

700 mètres INTERDICTION de CONSTRUIRE et APRES ?
Le triste constat présenté de l’urbanisation Géromoise tous azimuts sera-t-il solutionné par la règle des 700 mètres ?
L’attractivité touristique de Gérardmer en sera-t-elle réduite ! Pas sûr….
Par contre la pénurie foncière prévisible créée par la constructibilité limitée sous les 700 mètres renchérira le foncier au détriment des Géromois.
Quel que soit les pseudos règles qui voudraient régir les résidences dites secondaires elles ne seront qu’un rideau de fumée préélectoral car les effets d’annonce de la loi Le Meur démontreront bien rapidement qu’elles se retourneront contre l’économie locale du bâtiment et donc des emplois locaux, et des nombreux artisans et salariés ….
La grande erreur vient des règles permissives mises en place depuis la révision du PLU de 2015 en permettant une densification à outrance des parcelles constructibles.
Des règles simples comme dans le POS précédent, densité, emprise au sol plus faible, surface minimale des parcelles plus élevée auraient permis une constructibilité respectueuse du bien-être de tous…. Géromois et résidents secondaires.
On a créé les ghettos de la densification à outrance et demain la densification inévitable annoncée en dessous des 700 mètres créera les mêmes nuisances DU FAIT D’UNE SURDENSIFICATION inévitable et la pénurie au détriment des locaux !
La scission entre les Géromois et le monde du tourisme est la résultante de l’absence de projets fonciers à destination de la population locale, tout comme l’absence de suffisamment de logements « sociaux » ou intermédiaires à destination des emplois locaux et saisonniers ….
Mais avons-nous, avant bien recensé le nombre réel de demandes de logements manquants annuellement ?
L’anti touristes est-il bien justifié ?
Avons-nous une analyse précise de programmation de recherches du foncier non satisfait pour les locaux à un prix correct ? L’anti touristes est-il bien justifié ?
Avons-nous envie de réconcilier l’économie touristique avec les Géromois ? La restriction foncière constructible du nouveau PLU ne le permettra pas. La prolifération des règles d’urbanisme, des multiples études dites environnementales, l’empilement des lois ne profitent qu’aux multiples Bureaux d’études d’urbanisme et à la pépinière des instances de concertation…qui FACTURENT aux contribuables Géromois ! Qui se gargarisent de protéger notre environnement sans résultat probant.
Face à ce maquis administratif, les promoteurs immobiliers ont encore de beaux jours devant eux… EN DESSOUS des 700 mètres pour déjouer les contradictions réglementaires qui s’empilent …. Et pendant ce temps on se concertera..
.on débattra…on pleurera…on promettra…
Et l’on accusera le tourisme de tous les problèmes Géromois ! C’est si facile ….
Attention à l’effet de boum rang….
Jean Claude DEFAY

La démographie victime du surtourisme….?.
Une affirmation qui interpelle l’action publique…
Donc si l’on remonte le diagnostic, le surtourisme serait le responsable de la baisse démographique…..
Affirmation confortablement colportée par certains bureaux d’études et naturellement bienvenue par une franche de la population et une partie des élus qui trouvent ainsi facilement un bouc émissaire à tous les Maux de notre ville…
Si l’on posait la problématique dans le sens de la rationalité…
Pourquoi la démographie risque-t-elle de chuter ?
Quelles sont les causes probables de cette baisse ?
Tout de suite c’est la faute à l’immobilier touristique qui empêcherait les locaux d’acheter des logements ou des terrains à Gérardmer ?
Mais si l’on retourne la question pour chercher en quoi les touristes empêcheraient les Geromois de rester chez eux..
Alors si l’on s’interrogeait sur la politique d’urbanisme et foncière de la ville,l’on pourrait aussi s’interroger sur l’absence de politique foncière publique et de projets publics d’aménagement tant fonciers qu’immobiliers…
Il est plus facile de trouver un bouc émissaire qui ne vote pas à Gérardmer….donc une cible sans risque, plutôt que de s’interroger sur ce qui devrait être fait pour offrir aux Geromois une diversité d’activités économiques,une offre fonciere et locative conforme à la moyenne des revenus des Geromois.
Il est tellement plus facile d’accuser une mono-économie touristique qui a pris le pas sur la diversité économique !
Encore aurait-il fallu permettre aux divers acteurs économiques de trouver à Gérardmer les conditions d’accueil auxquelles prétendent ces entreprises pour s’installer…
Y a t’il eu une politique publique dans ce sens ?
L’ évolution si négative de la démographie n’est elle pas la réponse à la cause….
JC D

Gérardmer dispose d’un important réseau de passées communales. Celles-ci ne pourraient -elles pas être aménagées pour devenir des sentiers de randonnées. Imaginons une station de départ en centre ville peut être l’Office du tourisme d’où partiraient dans différentes directions des sentiers qui conduiraient les randonneurs vers les points de vues proches ou plus loin en empruntant le réseau du Club Vosgien pour les plus déterminés ?
Le parc Garnier reste à l’évidence un endroit peu fréquenté .il peut devenir un lieu de promenade et de repos agréable moyennant quelques aménagements : réfection de l’allée centrale, installation de bancs, plantations d’arbres.. Il peut être envisagé de prévoir une liaison aménagée entre la place et le parc.

« Redynamisons Gérardmer par une politique d’Avenir….et Non d’austérité ! » L’analyse budgétaire de la situation de la ville par « Gérardmer Avenir » exprimée par René Bourquin m’apparaît très simpliste et relève d’une expression émotive qui a tendance à trouver deux boucs émissaires faciles, le déficit du domaine skiable…et une mauvaise gestion globale de la municipalité…? Les données des ratios financiers argumentés sont très erronées dans la mesure où le comparatif s’établit sur la base de budget de communes de 5 000 à 10 000 habitants. Or Gérardmer est surclassée administrativement en Strat de 15/20 000 habitants compte tenu des bases fiscales prenant en compte entre autres, la fiscalité foncière du parc immobilier des résidences secondaires, les activités économiques touristiques (Casino, taxe séjour etc..) et de tous les services offerts à la population d’une ville touristique équivalent à 15/20 000 habitants….
L’argument financiers qui justifierait une rigueur drastique conduirait à un immobilisme et un gel des investissements, est justement l’erreur qu’il ne faut pas commettre pour relever le défi d’une transition efficace qui conduira à absorber le déclin des activités hivernales économiques et touristiques de la station….
Redonner un dynamisme 4 saisons au service de la vie économique touristique Géromoise et des emplois qui en découlent est un impératif pour maintenir l’emploi et la vie locale.
Sans un plan ambitieux, tout le contraire, la politique de restriction budgétaire proposée par « Gérardmer Avenir » (et en partie engagée par la municipalité actuelle), conduira à euthanasier la Perle des Vosges et appauvrir la ville et la vie des Géromois.
Gérardmer avec 2515 € de dette par habitant comparativement à Chamonix 4522€/hbt, Briançon 4024€/hbt, Morzine 3565 €/hbt, Châtel 6771€/hbt etc., démontre qu’elle doit être rigoureuse certes, mais que sa marge financière au vu des rentrées fiscales touristiques se doit de voir l’avenir avec enthousiasme et non de repli sur soi même.
Une prochaine réflexion justifiera une autre option des choix budgétaires à engager tout en maîtrisant une imposition modérée et maîtrisée telle que les Géromois peuvent l’accepter.
Sombrer dans un pessimisme préélectoral n’est pas la meilleure méthode pour motiver les Géromois, les entreprises locales existantes, (touristiques ou non) …et tous les services publics existants… à rester, se développer et vivre dans notre belle région.
Pire même cela fait fuir ceux qui auraient l’idée de venir s’installer….
Certes une gestion saine et plus rigoureuse est toujours nécessaire mais ce n’est pas avec l’étendard du catastrophisme que l’on construit « L’Avenir ». « Redynamisons Gérardmer par une politique d’Avenir….et Non d’austérité ! »
JC DEFAY

Je pense que Gérardmer ne peut vivre que du tourisme, il faut redonner a cette ville, de l’emploi pour nos jeunes. sur quatre enfants chez nous, trois sont partis. Le soucis de l hébergement est un problème. Faire ses courses le samedi est devenu un soucis. Beaucoup trop de monde dans les magasins. En période estival pour ma part je vais faire mes emplettes à Vagney. c est plus cool.

Proposition possibilité de mutuelle collective au niveau de la mairie qui doit en faire la demande à :Mutua plus 03 29 84 79 99
Ce système existe déjà a Remiremont et Epinal

Se laisser guider par notre bon sens : (avec ses 3 composants)
-choix de la bonne direction ? quelle sensation ça nous donne ? et qu’est ce que ça signifie ?

Bonjour, d’abord merci pour cette initiative. Pour ma part je pense qu’avant d’émettre des idées il importe de partager des données et le cadre dans lequel on peut agir. si on prend l’exemple de la station de ski, il serait intéressant de partager les enjeux ( les chiffres, combien coûte la mise en fonctionnement du télésiège, quelles sont les données météo prévues à l’horizon 2035, les assurances, les mises aux normes, ….) ainsi que le cadre juridique dans lequel il est possible d’agir ( le fonctionnement d’une régie municipale, la gestion des déficits…) Votre site pourrait être le lieu où sont rassemblées toutes ces données apportées par les citoyens en ayant connaissance. Dans un deuxième temps, une fois les données vérifiées et partagées, alors le moment des propositions pourrait intervenir. Ce qui est ici proposé pour la station de ski peut bien entendu l’être à d’autres domaines, l’emploi industriel, la gestion de l’eau, de la forêt…
Avant de faire des propositions, il est primordial d’être informé, et, si votre site permet de rassembler les informations détenues par les uns et les autres citoyens ce serait un grand pas pour la démocratie locale.
bien à vous

Pour offrir un bel avenir à la ville de Gérardmer, il est essentiel d’agir sur plusieurs leviers stratégiques, en tenant compte de ses atouts naturels, de son patrimoine culturel et des défis auxquels elle fait face. Voici les principaux leviers sur lesquels à mon avis il est possible d’agir :

1. Tourisme durable et quatre saisons

Valoriser les atouts naturels : Le lac, les forêts et les montagnes sont des joyaux. Il faut promouvoir un tourisme respectueux de l’environnement, en limitant la sur-fréquentation et en protégeant les écosystèmes.
Diversifier l’offre touristique :
En hiver : renforcer l’attractivité des stations de ski locales (La Mauselaine, Xonrupt).
En été : développer des activités nautiques, randonnées, VTT et accrobranche. Développer un golf au niveau de Grouvelin.
En toutes saisons : mise en valeur des sentiers pédestres, des fermes pédagogiques et des activités culturelles.
Créer des événements annuels : Renforcer des événements comme la Fête des Jonquilles ou le Festival du Film Fantastique pour attirer des visiteurs réguliers.

2. Transition écologique et protection de l’environnement

Préserver le lac et les espaces naturels : Mettre en place des mesures pour limiter la pollution, protéger les berges et maintenir la qualité de l’eau.
Encourager les énergies renouvelables : Développer des projets solaires, éoliens ou hydroélectriques adaptés à la région.
Sensibiliser à l’écologie : Organiser des campagnes de sensibilisation pour les habitants et les touristes sur la préservation de la nature et les gestes éco-responsables.
Lutter contre le changement climatique : Adapter la ville aux risques climatiques (inondations, sécheresses) en aménageant le territoire de manière durable.

3. Dynamiser l’économie locale

Soutenir les commerces et artisans locaux : Encourager les circuits courts, les marchés locaux et les produits régionaux (fromages, bières artisanales, spécialités culinaires).
Attirer de nouvelles entreprises : Créer des zones d’activités économiques pour attirer des entreprises innovantes, tout en préservant le caractère naturel de la région.
Développer le télétravail : Avec la montée en puissance du travail à distance, Gérardmer pourrait devenir un lieu attractif pour les télétravailleurs, grâce à son cadre de vie exceptionnel.

4. Améliorer les infrastructures et les transports

Moderniser les transports : Faciliter l’accès à Gérardmer en améliorant les routes et les transports publics, tout en encourageant les mobilités douces (vélos, marche).
Rénover le patrimoine bâti : Préserver l’architecture traditionnelle tout en modernisant les logements et les infrastructures publiques.
Développer des hébergements adaptés : Offrir une gamme variée d’hébergements (hôtels, gîtes, campings) pour répondre aux besoins des différents types de touristes.

5. Culture et patrimoine

Valoriser le patrimoine culturel : Mettre en avant les traditions locales, l’histoire de la ville et ses événements phares.
Soutenir les initiatives artistiques : Encourager les artistes locaux, organiser des expositions, des concerts et des festivals pour enrichir la vie culturelle.
Créer des musées ou centres d’interprétation : Par exemple, un musée dédié à l’histoire de Gérardmer, à son lac ou à ses traditions.

6. Cohésion sociale et qualité de vie

Impliquer les habitants : Associer les citoyens aux décisions locales grâce à des consultations ou des ateliers participatifs.
Soutenir les associations locales : Les associations sportives, culturelles et sociales sont essentielles pour créer du lien et animer la ville.
Améliorer les services publics : Renforcer l’accès aux soins, à l’éducation et aux services de proximité pour les habitants.

7. Attirer et retenir les jeunes

Créer des opportunités éducatives et professionnelles : Développer des formations locales en lien avec les secteurs porteurs (tourisme, environnement, artisanat).
Encourager l’entrepreneuriat : Soutenir les jeunes entrepreneurs avec des aides financières, des espaces de coworking et des programmes d’accompagnement.
Améliorer les loisirs pour les jeunes : Créer des espaces dédiés (salles de sport, centres culturels, espaces numériques).

8. Communication et promotion

Développer une stratégie de communication moderne : Utiliser les réseaux sociaux, les influenceurs et les plateformes digitales pour promouvoir Gérardmer comme une destination attractive.
Collaborer avec les acteurs régionaux : Travailler en partenariat avec les autres villes des Vosges et la région Grand Est pour créer des offres touristiques complémentaires.

9. Anticiper les défis futurs

Gérer la pression touristique : Trouver un équilibre entre attractivité touristique et préservation du cadre de vie pour les habitants.
Adapter la ville aux nouvelles technologies : Développer une ville connectée (smart city) tout en préservant son caractère authentique.
Préparer l’avenir économique : Diversifier les secteurs d’activité pour ne pas dépendre uniquement du tourisme.
En agissant sur ces leviers, Gérardmer peut se positionner comme une ville dynamique, respectueuse de son environnement et attractive pour les habitants, les touristes et les investisseurs. Une collaboration entre les élus, les habitants, les entreprises et les associations est essentielle pour réussir cette transformation.

Avec une population vieillissante en baisse de plus de 3000 habitants au cours des 20 dernières années et avec moins de 7000 habitants aujourd’hui, Gérardmer, d’ici 40 ans n’aura plus qu’un seul habitant (le maire?) pour se plaindre des touristes qui auront fait vivre la ville et peut-être même que ce dernier n’aura aucun ancêtre au cimetière local !
Pour que vive Gérardmer il faut donc que la commune se repeuple d’habitants en âge d’être actifs. Pour cela elle doit offrir des emplois et des logements de toutes sortes et à des prix abordables.

La première priorité est donc la réindustrialisation. Le tourisme est indispensable mais n’est pas suffisant. Pourquoi ne pas rêver d’une silicone vallée à la mode vosgienne ? Aux experts de la réindustrialisation de cogiter sur le sujet : écoles, logements, transports, incitations spécifiques offertes aux industriels, zones dédiées… en faisant valoir notre cadre de vie merveilleux à une époque où l’on peut aisément travailler à distance des grands centres urbains.

Cela va prendre du temps. Donc, en attendant, il faut aussi se focaliser sur les atouts actuels de la ville, à savoir ceux liés au tourisme.
Points forts :
Un environnement naturel exceptionnel.
De nombreuses manifestations sportives, culturelles et festives (Fantasticarts, triathlon, fête des jonquilles, festivals musicaux : Kichompré, Réso-nuances, Valtin …, salon des vins etc.).
Une infrastructure d’accueil des touristes variée et de qualité : hôtels, résidences, chambres d’hôtes, gîtes, restaurants etc.
Points faibles :
Un domaine skiable dans la tourmente en raison du manque d’enneigement, d’un endettement abyssal et d’une gestion communale qui pose des questions.
Un manque de communication sur les offres touristiques de la ville.
Une absence de démarche « marketing » pour inciter les entreprises, de toute nature mais non polluantes bien sûr !, à venir s’installer dans la commune.
Aucun projet nouveau, aucune créativité.
Un manque d’entretien des structures existantes (tour du lac, union nautique, patinoire etc.)
Le déclin inexorable des activités industrielles traditionnelles (textile, bois)
Un besoin d’embellissement de la ville (place de l’église « tristissime » , place du marché qui mériterait un beau projet d’aménagement, place de la gare sinistre, promenade au tour du lac acrobatique etc.)

Que faire pour favoriser le tourisme? Comment donner envie au maximum de gens de venir nous rendre visite et leur faire apprécier notre environnement, nos activités et distractions ?

La municipalité ne peut pas tout faire mais elle peut s’organiser pour encourager les initiatives privées en vue de multiplier les manifestations sportives et culturelles et la création d’activités ludiques plus nombreuses (cf l’exemple que nous donne La Bresse)

On peut développer les idées d’aménagement et de création d’activités nouvelles à l’infini mais ce qu’il faut c’est une méthode .

Celle-ci pourrait être pour notre futur maire de constituer une équipe regroupant divers adjoints dont chacun aurait une compétence particulière répondant à l’un des sujets à traiter avec expertise.

Un responsable des services publiques : écoles, voirie, déneigement, gestion de l’eau etc.
Un responsable du domaine skiable en vue de trouver un repreneur privé et de développer des activités « 4 saisons »
Un responsable du lac et de ses environs : aménagement du circuit autour du lac, patinoire, piscine, base nautique, union nautique bowling, pêche, activités nautiques etc.
Un responsable de l’embellissement de la ville : jardins, arbres et projets d’aménagements
Un responsable du logement : mettre en œuvre une politique pour stimuler l’offre de résidences à l’année
Un responsable du tourisme : gestion des événements actuels et développement de nouveaux événements avec recherche de partenaires sponsors.
Un responsable du développement industriel chargé de définir une politique incitative et de prospecter les entreprises susceptibles de s’installer à Gérardmer
Un responsable de la communication et des relations publiques en vue de promouvoir efficacement la ville, son environnement et ses activités. Également chargé des relations avec les ‘média’
Un responsable des finances : très expert !

Ah, j’oubliais le futur maire !

Il devra bien sûr connaître parfaitement les réglementations définissant les compétences d’une commune et avoir des introductions dans tous les organismes qui interagissent dans la région : département, région, chambres de commerce et professionnelles etc, etc.

Suite…
3) l’autonomie alimentaire est un plan national : qu’est ce qui est fait à Gérardmer pour retrouver celle-ci ?
Il faudrait développer l’agriculture bio et locale : pour cela faire une table ronde réunissant les maires de la comcom ,le GAB (groupement des agriculteurs bio) , l’association des coquelicots des hautes Vosges, pour informer la population sur l’importance du développement de l’agriculture bio pour notre santé et pour la lutte contre le réchauffement climatique.
La aussi il faut développer cette information dans toutes les cantines et prendre exemple sur les communes de France qui ont réussi à offrir, ds ttes leurs cantines, des repas bio et locaux, végétariens certains jours, et ce sans augmentation de prix.
5) prendre exemple…La comcom du Val de villé et la commune de Breitenbach sont en tête de la transition écologique en France. Gérardmer doit être dans les derniers ? Breitenbach est à moins d’une heure de Gérardmer et en montagne aussi.
Pourquoi ne pas établir un partenariat avec eux pour être guidé ds cette transition? Inutile de réinventer ce qui existe déjà, mieux vaut le copier en l’adaptant et en l’améliorant.
Ils sont performants dans la gestion de l’eau, de la forêt, de la biodiversité, des économies d’énergie.
On peut organiser une visite de cette commune avec son maire Jean Pierre Piela ou lui demander de venir présenter ce qu’il a initié depuis plus de 20 ans et qui fonctionne pour le bonheur de tous les habitants.
6) toutes les associations qui luttent contre les pbs d’écologie (pesticides, réchauffement climatique, appauvrissement des sols , perte de biodiversité, pollutions de l’eau ,de l’air et des aliments, plastiques partout ds nos aliments, augmentation des cancers chez les jeunes, etc) devraient pouvoir venir dans une ville comme Gérardmer pour présenter leur travail, leurs connaissances scientifiques et leurs combats.
Pourquoi ne pas créer a Gérardmer un tourisme basé sur la transition écologique où on saurait qu’ici il y a une semaine consacrée aux films fantastiques mais il y a aussi des week-ends ou des semaines
 » Gérardmer en transition écologique  » ou « Gérardmer nature, sciences et debats  » ou..un autre titre qui touche et donne une nlle image a Gérardmer. Cela attirerait un public certain car les gens sont de plus en plus conscients de ce que nous allons devoir subir si nous réagissons trop tard et ont besoin de nature.
Donner un aspect culture scientifique en plus de l’aspect nature et sport, permettrait à Gérardmer d’animer le tourisme les jours de mauvais temps
7) créer une ferme pédagogique à « la pastorale »

1 ) Construire un grand plan d’information sur l’écologie, l’ecologie en tant que SCIENCE )pour donner envie aux Géromois d’agir ensemble pour la protection de notre environnement en comprenant les problèmes, les solutions possibles et comment agir à notre niveau.
Pour cela proposer :
-pour les jeunes de réunir les enseignants afin de créer une sorte de progression commune ds les connaissances (j’ai déjà testé ce plan pendant plusieurs années)
– pour les adultes instaurer en parallèle un cycle de conférences à la mairie.
-puis organiser des débats sur « un problème, des solutions  » car là où des personnes cherchent ensemble une solution et la décident eux même, la solution est acceptée.
2 ) transformer l’ancien lycée hôtelier « l’ermitage » en centre d’accueil pour familles monoparentales et hébergement de seniors afin de :
-donner plus de moyens aux mamans de garder entre elles ou à l’aide des personnes âgées les enfants
-offrir sur place des aides à l’éducation des enfants

AGIR pour Demain et un Futur immédiat ….
Suite à l’inauguration de l’Office de tourisme ,Coup de chapeau pour une analyse présentée par JLA, qui pourrait aiguiller la réflexion pour la réconciliation entre la population et tous les acteurs du tourisme de la Vallée des Lacs.
Certe la réflexion, la concertation peuvent conduire à un renouveau de ce qui garantit, et relancerait le pouvoir de séduction de la vallée des lacs et la part substantielle des ressources économiques et par la même une majeure partie de l’emploi de notre territoire, dans tous ses effets directs ou induits.
Heureusement ou malheureusement aujourd’hui moultes études réalisées, financées par les pouvoirs publics locaux, du massif ou agences annexes, n’ont guère débouchés, si ce n’est sur des rapports, des diagnostics et…peu ou pas d’activités débouchant sur un projet 4 saisons.…
Certes la concertation est la mère de l’adhésion à un projet qui nous concerne tous et dont les résultats impacteront notre vie, celle de nos enfants, des entreprises et forces vives locales et aussi ceux que nous voulons accueillir !
Mais la compétitivité, la lenteur inévitable de l’action publique, la durée de réalisation de la transformation ne nous permet plus de tergiverser dans de nouvelles études qui ne feront que des copiés -collés de tout ce qui peut être réalisé pour répondre à l’équation d’un nécessaire équilibre à retrouver pour une adhésion partagée.
Agir devra être la condition à la survie car toutes les études sont presque la…
Reste les décisions…
Preuve en est la dernière révision du PLU de Gérardmer avec :
Ses 1901 PAGES de documents…., comprenant Atlas, Diagnostics, Loi Montagne, X synthèses, son PADD, ses X études et réflexions d’aménagement, servitudes, et finalement…
Son projet de règlement de 131 pages avec 49 documents graphiques…. Et ses 537 pages d’annexes……!
Qui en l’état du dossier conduirait à un abandon du caractère naturel du Site majeur qu’est Le Lac dans les fondations du tourisme et de l’espace naturel Géromois.
Face à cette avalanche administrative des documents et ses analyses contradictoires est-il encore possible par nos élus, chargés de gérer nos orientations…de discerner l’essentiel ? Pas certain vu la masse à compiler ! Heureusement leur bon sens permettra peut-être avec quelques conseils concrets de citoyen locaux de rattraper ces graves erreurs que ni l’ABF et l’unité départementale de l’architecture , Pas plus que le Parc Régional des Ballons des Vosges n’ont décelés….
Et ceci n’est qu’un bel exemple……
Même s’il n’y aura jamais unanimité, il appartiendra en 2026 aux futurs élus d’être dans l’action et sortir de ce délire intellectuel des études et pré études dans laquelle la France et ses multiples couches administratives se complait et nous enlise.
Alors de grâce, place à la programmation, et à l’action.
Stop à la bureaucratie des milles feuilles et de ses structures parallèles à qui l’on délègue les compétences sans en contrôler et exiger l’efficacité….
L’avenir de l' »ex Perle des Vosges » et le projet communal de conforter Gérardmer en tant que principal pôle des Hautes Vosges sera entre les mains d’élus acteurs et décideurs de leurs choix pour répondre à ce qui est, la principale ressource économique de la ville.
Impossible de s’en passer sauf à admettre un déclin fatal à tous…. JCD

– Transformer Gérardmer en une ville plus verte, en mettant en place un plan de plantation d’arbres partout où c’est possible, par exemple dans les grandes artères du centre-ville. C’est bon pour la planète ainsi que pour l’agrément de la ville et l’entretien ne coûte pas très cher.
– Gérardmer vit du tourisme, il me semble urgent de favoriser/prévoir des activités « 4 saisons », la neige n’étant plus toujours au rendez-vous.
– Réfléchir au désenclavement de la ville.
– Attirer des artisans, professions libérales, etc, avec des exonérations de taxes ou autres formes d’aides pour rajeunir la population.
Merci pour votre attention.

Revoir en profondeur le mode de circulation dans la ville et utilise le lac comme un « rond point » géant.

Avoir une vrai culture pour les entrepreneurs car peu importe ce que les Geromois pur jus racontent, ce sont les touristes qui font vivre la ville. Essayez d’attirer les résidents secondaires avec des zones « télétravail » adaptées

Rendre le parcours du centre ville de gerardmer accessible aux personnes en fauteuil roulant
Aménagement des trottoirs

– Favoriser l’implantation de petites et moyennes industries non polluantes dans une zone artisanale à améliorer.
– Comment faire: trouver un bon cabinet spécialisé dans ce domaine, ça doit exister !
– Objectif: favoriser l’implantation de jeunes ménages dans l’agglomération.
Favoriser au mieux la disponibilité de logements à des tarifs raisonnables. (Fait partie du cahier des charges du cabinet ci-dessus)
– Améliorer « l’industrie des services »

Historiquement, Gérardmer a été longtemps la commune la plus « à gauche » des Vosges car un clivage s’était fait jour entre quelques familles industrielles et une majorité d’ouvriers. Aujourd’hui cette division s’est accentuée par l’importance du tourisme et des résidences secondaires qui sont essentiellement dans les mains de nouveaux géromois, souvent électeurs ailleurs. Je suis attentivement la vie de la ville. Comme toute zone touristique en tension, Gérardmer subit une accélération mal anticipée et mal accompagnée. Pour éviter de succomber à la pression qui renchérit le prix des terrains, la commune aurait dû aménager des réserves foncières pour permettre aux habitants de s’installer plutôt que laisser des promoteurs agir sans contrôle. Outre les jeunes gérômois qui sont contraints parfois de s’expatrier dans les communes environnantes, le tourisme a besoin de personnels saisonniers qui doivent pouvoir se loger à Gérardmer pour assurer leurs prestations le plus efficacement possible.

Les projets immobiliers : pourquoi et comment ?

Lambersart se transforme pour se préparer à l’avenir. Un des défis est la construction de nouveaux logements. C’est une nécessité mais pas n’importe comment : la municipalité impose la concertation aux promoteurs.

Bertin Lembrez, conseiller délégué au logement :
« Construire des logements, un besoin pour nos concitoyens et une obligation »

Pourquoi Lambersart a besoin de nouveaux logements ?
Le besoin en logements est toujours aussi important en France, sur le territoire de la MEL et à Lambersart. À Lambersart, les chiffres parlent d’eux-mêmes : depuis 1975, la ville a gagné plus de 3000 logements mais a perdu 2500 habitants ! C’est principalement dû à l’évolution de la cellule familiale : aujourd’hui, on compte 2,31 habitants par foyer lambersartois et presque la moitié de ces foyers est composée d’une seule personne. Construire des logements, c’est permettre à Lambersart de conserver sa population. De plus, notre ville est très attractive et le prix des biens vendus augmente. Cela ne permet plus aux ménages d’effectuer leur premier achat à Lambersart. Réaliser un parcours résidentiel classique, débutant par la location d’un premier appartement jusqu’à l’achat d’un bien, devient impossible, en particulier dans le cas de la primo-accession.

Nicolas Burlion, conseiller délégué à l’urbanisme
« La concertation fait toujours évoluer positivement les projets immobiliers

À quoi sert la démocratie participative pour les projets immobiliers à Lambersart ?
Dans un projet immobilier sur un terrain privé, la Ville ne peut pas imposer grand chose au promoteur si le cadre légal * est respecté dans le permis de construire. La propriété privée est un droit inaliénable en France. Donc la municipalité comme les habitants peuvent se retrouver avec des constructions sur lesquelles ils n’ont pas prise. En revanche, la Ville peut imposer pour chaque projet une concertation, et c’est ce que nous faisons. Pourquoi ? Pour mobiliser l’intelligence collective. L’architecte n’habite pas là où le projet est prévu, mais les habitants du quartier, eux, connaissent les détails du site. Ainsi, nous demandons l’organisation de réunions de concertation, souvent avec des ateliers participatifs, qui permettent aux habitants de donner leur avis et même d’imaginer les grandes lignes du projet.

La carte des projets
Retrouvez les projets en cours ou à venir sur Lambersart. Il est important de préciser qu’aucun de ces projets n’est à l’initiative de la Ville, mais bien de propriétaires privés ou de collectivités territoriales. La mairie n’a vendu aucun terrain ces 4 dernières années. Pour de nombreux projets, vous pouvez encore participer à la concertation.

En suivant l’actualité de la ville de Gérardmer, je vois des points communs avec ceux de ma commune, Lambersart, qui met en place actuellement un projet municipal autour des 3 axes : Démocratie participative, Ecologie, et Lien Social.
La priorité de Démocratie Participative justifie le poste de première adjointe, à la DP.
Et pour aller plus loin, des citoyens, dont je fais partie, ont voulu créer dès le départ, « l’Observatoire de la Participation », pour que cette ambition n’en reste pas aux mots, et que ses résultats soient soumis à une critique indépendante des élus.
Ses membres, bénévoles et volontaires, suivent les concertations mises en place. Ils sont observateurs tout particulièrement des réunions publiques. Nous synthétisons nos observations sur une grille d’analyse commune et nous faisons des recommandations. L’Observatoire est utile puisque la Ville a pris en compte les remarques émises dans notre premier bilan dès 2022.
Par exemple: comme chez vous, les nouvelles constructions, et l’attribution des Permis de Construire par la mairie, focalise les appréhensions légitimes des habitants. Or aucun de ses projets n’est à l’initiative de la ville, mais bien de propriétaires privés, ou de collectivités.
Dans tous les cas de collectifs, la mairie a réussi à obtenir des promoteurs une concertation préalable – ils y trouvent aussi un intérêt- en 3 temps de réunions, qui coûtent du temps et beaucoup d’efforts. Un premier temps d’écoute des craintes, des attentes des citoyens, ainsi que des exigences strictes par les professionnels du PLU concernant les volumes, la verdure, le stationnement, etc. sans aucun projet préalable. Un mois plus tard les habitants sont invités à rédiger en commissions le cahier des charges du projet. Enfin, la dernière rencontre amène tous les professionnels, promoteur, architectes, paysagistes à expliquer leurs choix en regard du CDC.
Cette méthode, qui ne peut pas satisfaire toutes les exigences, oblige à des compromis et elle économise, au final, du temps et de l’énergie en évitant les plus fortes crispations.
Dans le bilan 2023, sur les 87 temps de concertation et de participation, l’ Observatoire de la Participation était présent à 43 d’entre eux. Ils ont rassemblé plus de 2300 personnes. Non seulement les concertations liées aux projets immobiliers, et les six assemblées de quartier, mais aussi : aménagements urbains, commissions extra-municipales, budget participatif, et d’autres temps citoyens. Nous avons constaté que la Ville a renforcé ses démarches de concertation en diversifiant leurs formes : des ateliers citoyens, des visites de terrain, des comités de suivi, une plate-forme numérique, en plus des réunions publiques.

Revoir tout le fonctionnement du domaine skiable, ne pas baisser les bras comme semble le faire la municipalité actuelle. Utiliser les infrastructures l’été, piste de VTT, Pourquoi pas un golf sur les hauteurs au niveau de grouvelin etc.
Ne pas stigmatiser les Géromois qui font de la location saisonnière afin d’améliorer leurs revenus.

site de covoiturage entre geromois pour faciliter la mobilité des personnes sans véhicule
Inscription sur volontariat des conducteurs avec trajets réguliers depuis Ģerardmer vers remiremont saint die et epinal
Avec participation financière abordable

Soutenir de bonnes et saines initiatives dans le respect du cadre de notre si belle nature !

Je suggère un salon du livre à l espace lac 🤩

La case est trop petite pour la remplir mais plein d’idées….

– Sortir Gérardmer de son isolement dans la gestion de projets, être plus collectif, unir les forces avec Région, Département, autres com com.
– Redonner du dynamisme, image de Gérardmer (accueil des jeunes, le tourisme)
– Travailler sur une gestion collective des déchets (image aussi en termes d’accueil touristique).
– Créer plus de synergie pour les associations de Gérardmer, gestion matériels, appui des bénévoles; comment également « mobiliser les jeunes » pour être des futurs bénévoles, terreau de demain.
– Motiver les habitants, être fier de Gérardmer
– Comment faire pour que la ville reste accessible aux jeunes (coût énorme des locations), et beaucoup n’ont plus les moyens de construire (je pense du coup que la population de Gérardmer est vieillissante).
– Arrêter les balcons fleuris (défi sobriété en eau)… ou famille nombreuses par exemple.
– Développer alimentation en circuit court pour collégiens, lycéens, écoles (à voir ce qui se fait, les familles n’ont pas d’infos à ce niveau)
– Refaire et anticiper des pontons autour du lac notamment
– Faire monter les gens à la Mauselaine (location de vélos tout type, mini golf pour les enfants)
– Utiliser le débrayable pour une politique 4 saisons, l’été pour monter sur les hauts pour balades et vélos

Végétaliser le parvis de l’église qui est trop minéral
Un détail ( pourquoi utiliser un sapin de Noël artificiel alors que le sapin naturel est l’emblème des Vosges et que Gerardmer est environné de forêts )

1/Réconcilier une population divisée par des combats stériles entre environnement et tourisme.
2/ Un grand projet d’activités loisirs de conversion du domaine skiable pour pérenniser l’économie touristique.
3/Protéger,valoriser le lac de Gérardmer par un PLU pertinent.

développer le site de la Mauselaine l’été pour éviter son abandon
Activités plurielles comme le Golf, luge d’été, aménagement descente VTT etc
Favoriser une association de résidents secondaire pour écouter leurs désirs et opinions
Aménagements de la ville: comme un marché couvert , valoriser le tour du lac etc

Ici, vous pouvez indiquer les idées que vous portez pour la ville de Gérardmer. Vous pouvez parler d’urbanisme, d’écologie, de développement économique et social, de culture, de tourisme. Vous pouvez également détailler les compétences qui pourraient aider les candidats dans leur mission. Cette « fiche talent » n’est là que pour vous montrer comment vos données s’afficheront après l’envoi de votre formulaire.
Chaque fiche est relue par le Comité de l’Association avant d’être publiée. Si vous vous posez des questions sur notre démarche, vous pouvez nous écrire par mail ou consulter notre FAQ (Foire Aux Questions).
Votre numéro de téléphone et votre adresse mail n’apparaîtront pas sur cette page.